8 mars : Journée internationale de la lutte pour les droits des femmes La CSF appelle à la mobilisation !

Issue de l’histoire des luttes féministes menées sur les continents européen et américain, la journée du 8 mars célèbre les luttes pour les droits des femmes et pour l’égalité entre hommes et femmes.

En 2024, malheureusement, les inégalités, les injustices, le patriarcat et les rapports de domination persistent : Combien de femmes se font tuer par leur conjoint ou ex-conjoint ? Combien de mères se retrouvent sans place d’hébergement d’urgence après avoir été violentées ? Combien de victimes de viols ou violences qui ne portent pas plainte ou en sont empêchées ? Combien de mères seules se retrouvent en difficulté, à jongler entre leur vie familiale, professionnelle et personnelle ? Combien de femmes renoncent aux soins par manque d’argent ? Combien de femmes moins bien payées que les hommes ? Combien de femmes touchées de plein fouet par la précarité ?

Nous ne comptons plus et nous ne voulons plus compter, car nous voulons que la société change. Ces situations ne sont pas des cas isolés, c’est un problème social et sociétal pour lequel l’Etat doit mettre en place des mesures à la hauteur des urgences et des besoins actuels et y mettre les moyens nécessaires !

En tant que force de progrès, La CSF s’est toujours tenue du côté des femmes pour soutenir l’évolution de leurs droits (droit à la pilule, à la liberté sexuelle, à l’IVG, à l’autonomie corporelle et économique, à l’égalité salariale etc). Aujourd’hui et demain, elle continuera à œuvrer pour une société juste et c’est d’ailleurs pourquoi La CSF appelle à la mobilisation le 8 mars 2024 !

Mobilisons-nous, allons manifester faisons grève, menons des actions partout sur le territoire pour que notre voix résonne : une voix féministe revendiquant qu’une seule voie est possible : le chemin de l’égalité et de l’émancipation de tous.tes ! Comme le disait Simone de Beauvoir « La femme n’est victime d’aucune mystérieuse fatalité : il ne faut pas conclure que ses ovaires la condamnent à vivre à genoux. »